Aux corps qui sans armures
Renaissent des essences
Qu’on a laissées bromures
Aux stases de l’insouciance
S’accrochent les dorures
Des pâles réjouissances
Arrachées à l’injure
Des tendres opulences
Des affres en sinécure
Qu’on charge des enfances
Pour faire de la parure
Le fer de nos alliances
On ne retient qu’impur
Et lasses délivrances
Pour nier les ratures
Aux gouffres d’évidence